Avalanche de livraisons ce mois d'août. Pour commencer, Le Parrain de chez Edge. Un jeu d'Eric Lang que j'attendais avec impatience. Il est enfin là, mais sans la figurine du personnage principal du film. Une maladresse que le SAV Asmodée ne pourra pas refuser de réparer.
J'ai également reçu un sac de transport de figurines à monter soi-même. Cela faisait un moment que j'en cherchais un à un prix raisonnable. J'ai trouvé mon bonheur avec la campagne Kickstarter proposée par A-Case (site de l'éditeur). Finie la chasse aux vieilles boîtes métalliques qu'elles soient de gâteaux, de Kaleidos ou de Compatibility.
Troisième réception notable de cet été, celle de Desert Wrath, la suite de la campagne initiée dans Shadows over Normandy par Devil Pig (site de l'éditeur). Du Heroes of Normandie, avec du Cthulhu et du sable dedans, que demander de plus ?
Une faction dédiée au grand poulpe ? C'est chose faite avec celle qui n'avait pas été débloquée lors de la campagne initiale du jeu. Son nom de code Cthulhu Mythos Call 2, alias Fous ta cagoule !
Pour finir, le 7th Continent a été découvert. Une campagne livrée ASAP, comme il est à la mode de dire. Gageons que le jeu est aussi bon que l'attente aura été longue. Et pour ceux qui s'en voudraient d'avoir raté la campagne lancée il y a 2 ans, une nouvelle fournée accompagnée de nouveautés semble programmée pour la fin du mois par Serious Poulp (site de l'éditeur).
Keyword - Edge
samedi 2 septembre 2017, 18:00
Livraisons estivales
Par quenie - C'est dans la boîte - Lien permanent
dimanche 16 octobre 2016, 05:45
My Arkham Nights (7/8)
Par quenie - Loisirs créatifs - Lien permanent
Dans les épisodes précédents : Des coffres et des dés (1/8), Des cartes (2/8), Des monstres (3/8), Des pions (4/8), Des fiches (5/8), Des plateaux (6/8)...
Pour dérouler la fin de cette seconde soirée des Arkham Nights, il ne me reste plus qu'à vous présenter les 2 autres coffres de cet ensemble. Ils contiennent les figurines du jeu qui peuvent être utilisées dans tous ceux de la série Horreur à Arkham de Edge et FFG.
Dans le plus petit des deux sont regroupées les figurines des 12 monstres à socle moyen et les 48 investigateurs. Toutes les figurines sont aimantées aux présentoirs réalisés en carton-plume noir.
La forme des socles et la pose parfois approximative des aimants n'assure pas toujours une parfaite accroche, mais dans l'ensemble ça tient. Puis c'est bien plus pratique que les blisters dans lesquels elles étaient vendus. Ceux-ci étaient parfaits pour le transport mais demandaient un temps considérable pour les manipuler et énormément de place.
samedi 17 septembre 2016, 15:00
Faire part
Par quenie - Parties - Lien permanent
Edge/FFG et Games Workshop sont heureux de vous annoncer... Leur divorce ! Je n'avais pas prévu de parler de Warhammer Quest cette semaine, mais l'actualité m'oblige à bouleverser un peu mon calendrier. Bon, l'information n'est pas de prime jeunesse, FFG ayant déjà communiqué sur l'affaire la semaine dernière, mais Edge vient de préciser comment les choses allaient se dérouler de son côté hier.
Tout ceci est regrettable, surtout pour des jeux comme Warhammer Quest. Avec une campagne de cinq scenarios et quatre personnages, l'intérêt de la boîte de base risque de s'essouffler rapidement sans le renfort des traditionnelles extensions de la maison. Le jeu, dont il faut sans doute dès à présent parler au passé, me plaisait beaucoup. Je lui trouvais des airs de l'excellent Seigneur des Anneaux JCE sans le deckbuilding, ce qui correspondait assez bien à mes envies du moment.
Mais bon, il faut se faire une raison. Il n'y aura pas d'extension en français pour Warhammer Quest. Il n'y en aura plus non plus pour Blood Bowl Team Manager, mais y en aurait-il eu avec un partenariat maintenu ? Ce seront mes 2 regrets pour ce qui est la fin d'une époque où quelques productions laisseront tout de même le goût amère de l'inachevé.
Cependant, l'arrêt de cette collaboration n'est pas si étonnant compte tenu du virage éditorial pris par Games Workshop ces derniers mois. Ils veulent sans doute reprendre la main sur leurs licences pour les exploiter au maximum avec les boîtes qu'ils sortent à un rythme effréné ces derniers temps. D'ailleurs, l'un des points culminants de cette année ludique pourrait être la sortie du nouveau Blood Bowl, plus de 20 ans après la 3e édition.
En revanche, s'ils ambitionnent de développer également des jeux de cartes, espérons qu'ils se tournent à nouveau vers des spécialistes tels que FFG ou qu'ils ont fait d'énormes progrès depuis les années 90 et leurs jeux de cartes de l'époque.
samedi 20 février 2016, 08:00
Dead Men Tell No Tales
Par quenie - Parties - Lien permanent
Récemment, j'ai eu l'occasion d'essayer Rum & Bones, un jeu de Michael Shinall édité par Cool Mini Or Not et proposé depuis peu par Edge en français. Dans celui-ci, 2 équipages assoiffés de rapines croisent sur les mêmes eaux et finissent par se chercher des noises. Chacun s'emploie alors à saborder l'autre, même s'il serait plus sage d'éviter d'attirer l'attention des terrifiants monstres de ces mers.
Les joueurs contrôlent leurs héros respectifs, mais le comportement du reste de l'équipage est dicté par les règles. À chaque tour, tant que les canons n'ont pas été détruits, il y a un tir de bordée. Ensuite, de nouveaux matelots sortent des cales et tous ceux qui sont sur le pont attaquent et avancent droit devant eux s'ils le peuvent.
L'état-major du navire se compose d'un capitaine, d'un intendant, d'un bretteur, d'un canonnier et d'une brute, mais seuls 3 de ces héros peuvent être au même moment sur le pont. Avec leurs spécificités et leurs 3 actions par tour, ce sont eux qui feront la différence et qui permettront d'obtenir les 6 points nécessaires à la victoire.
Chaque faction dispose aussi de son propre paquet de cartes. Les joueurs peuvent y puiser quelques coups tordus supplémentaires, mais leur utilisation augmente grandement le boucan. Cela risque d'attirer le Kraken dans le coin et s'il vient se mêler à la fête, gare à ceux qui se trouvent sur le pont !
Après cette initiation réussie, ce jeu plein de jolies figurines et de dés apparait simple à mettre en place. Il offre de nombreuses options tactiques, grâce aux pouvoirs très différents des personnages, mais attention aux éléments aléatoires qui risquent de redistribuer les cartes à tout moment. On pourra regretter tout de même le manque de choix dans la boîte de base (personnages, factions), car même si les extensions sont faites pour cela, il faudra remettre la main à la poche et la note risque de devenir un brin salée.
lundi 21 décembre 2015, 23:59
Winter is coming back
Par quenie - Parties - Lien permanent
Je n'ai pu résister à la récente sortie chez Edge de la seconde édition du Trône de Fer : le jeu de cartes. Il faut dire qu'avec quatre paquets prêts à jouer et huit maisons pour une trentaine d'euros, cette boîte de base a de quoi attirer de nouveaux venus.
Lors de la mise en place, chaque joueur prend un deck de complots (cartes au format paysage) et un deck de pioche (cartes au format portrait). Le premier permet d'adopter différentes stratégies, alors que le second contient les personnages, lieux, objets et évènements qui peuvent être utilisés.
Un tour de jeu commence par une phase de complot où chacun choisit une carte de son deck du même nom. Celle-ci détermine de nombreux éléments pour le reste du tour, comme l'initiative, les ressources, le nombre de cartes qui pourront être conservées à la fin...
S'en suit une phase de pioche et de recrutement où les joueurs placent leurs cartes sur la table en dépensant de l'or. Il peut s'agir de personnages, qui sont placés en première ligne, ou de lieux, qui sont placés à l'arrière. Les attachements sont quant à eux associés à d'autres cartes déjà en jeu.
La phase des défis est celle où les joueurs peuvent engager leurs personnages contre un adversaire. Ces défis peuvent être militaires, d'intrigue ou de pouvoir et permettent de tuer des personnages, de faire défausser des cartes ou de voler du pouvoir à l'autre.
Le pouvoir peut également être gagné à la fin d'un tour, lors de la phase d'hégémonie, par le joueur disposant du plus de ressources non utilisées (or restant et personnages redressés). La plupart de temps, c'est ce pouvoir qui permet de gagner une partie.
Voilà pour les très grandes lignes de ce jeu qui propose une merveilleuse plongée dans l'univers du Trône de Fer. Les bases sont simples, mais les interactions entre les différents éléments sont d'une complexité redoutable. La profondeur en devient insondable et c'est d'ailleurs l'objectif de ces jeux qui s'adressent à des passionnés du genre.
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